Abe Schwartz
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Abe (Abraham) Schwartz (Yiddish: אבּ שװארץ or אייב שווארץ) (Born near Bucharest, Romania in 1881, died 1963 in Bronx, New York City) was a well-known klezmer violinist, composer, Yiddish theater and ethnic recordings bandleader from the 1910s to the 1940s. In his various orchestras, he recorded many of the leading klezmer musicians of the early twentieth century, including Naftule Brandwein and Dave Tarras. |
Abe (Abraham) Schwartz (Yiddish : אבּ שװארץ ou אייב שווארץ) (né vers Bucarest, Roumanie en 1881, décédé en 1963 au Bronx, New York) était un violoniste klezmer réputé, compositeur, et a dirigé les enregistrements de théâtre yiddish et de la plupart des musiciens klezmer influants du début du XXe siècle, notamment Naftule Brandwein et Dave Tarras. |
BiographySchwartz was born outside of Bucharest, Romania on April 15, 1881. It is unclear what musical education he received there, but according to klezmer researcher Henry Sapoznik, his father was a tinsmith who tried to discourage Abe from becoming a musician. Schwartz emigrated to the United States with his parents in 1900 or possibly 1902. In the US he eventually married and had a son Louis, as well as four daughters: Mary, Ida, Bebe, and Sylvia, who recorded a few times accompanying her father on the piano. In the 1900s and 1910s he worked as a dance band leader in the New York City area. He was among a cohort of Romanian-born klezmer bandleaders that included Max Leibowitz, Abe Katzman, and Milu Lemisch. At some point he met David Nodiff, Artists and repertoire (A&R) man for Columbia Records. In 1917 Nodiff hired Schwartz to organize instrumental performances of ethnic music for the label as well as to seek out new Jewish talent for future recordings. Among these discoveries were Naftule Brandwein, the "king of klezmer clarinet", who could be heard playing clarinet on some of Schwartz's recordings around 1920, before he formed his own orchestra at the competing Victor Records. As Jeffrey Wollock put it, "an independent contractor for Columbia's East European (and possibly other ethnic) records, [...] it was Schwartz's job to put bands together." Wollock continues: "Schwartz was a "house conductor" in the foreign department, and his bands consisted of whomever he hired for the session. Since he often did without written arrangements, relying on his players to "know what to do," the playing on most of his band recordings is vernacular, spontaneous, and somewhat ramshackle." By 1919 Schwartz published his first song "Dus Zekele mit Koyln" and recorded it with Yiddish language singer Abraham Moskowitz, marking Schwartz's entry into the world of Yiddish theater music. In that year he also recorded a number of non-Jewish recordings under pseudonyms such as Orkiestra Wiejska and Russky Narodny Orkestr. In 1920, in preparation to record another round of klezmer tunes, he copyrighted roughly 35 pieces, which are viewable through the Library of Congress today. His most famous tune, which is still performed today, was Di Grine Kuzine (the Green cousin). The song was so successful that it spawned a number of imitator in the world of published scores, such as Hyman Prizant's Mayn Kuzine and Jacob Leiserowitz's Di Grine Kuizine. It was also recorded by several artists, including Abraham Moskowitz, Joseph Feldman and Morris Goldstein. The success of the song compelled Schwartz to write and publish a number of other Yiddish theater songs. In 1923, when Naftule Brandwein left his orchestra to start his own at a competing label, clarinet player Schloimke (Sam) Beckerman replaced him in Schwartz's orchestra. In 1927, he helped put together another ensemble, the Boiberiker Kapelye, which performed on the radio and on records for five years, and which included such soloists as Dave Tarras, Alex Fiedel, and Berish Katz. Schwartz continued to record and compose through the 1930s, slowing down somewhat by the 1940s. His 1941 recording Ikh bin a Boarder bay mayn vayb was a notable success of his later career. He was still able to get regular and well-paying gigs playing klezmer music in the late 1940s, as reported by Marty Levitt who played with Schwartz in 1949. To him, Schwartz was just an elderly violinist, but many of the audience had followed his career since the 1920s and saw him as "an icon, a cult figure". In the 1950s he retired from the music industry. Schwartz died in the Morrisania Hospital in the Bronx at age 75 on May 7, 1963. |
BiographieSchwartz est né vers Bucarest, Roumanie le 15 avril 1881. Son éducation musicale n'est pas clairement connue, mais selon l'éthno-musicologue Henry Sapoznik, son père, qui était ferblantier, a essayé de décourager Abe de devenir musicien. Schwartz a émigré aux Catégorie:USA avec ses parents en 1900 ou 1902. De son marriage aux USA sont nés son fils Louis, et ses filles Mary, Ida, Bebe et Sylvia qui ont été enregistrées quelques fois accompaniant leur père au piano. Dans les années 1900 et 1910, Abe a travaillé comme maître danse autour de New York. Il menait une cohorte de chefs d'orchestre klezmer origniaires de Roumanie, notamment Max Leibowitz, Abe Katzman, et Milu Lemisch. Il a fait connaissance avec David Nodiff, le monsieur "artistes et répertoire" chez Columbia Records, qui la embauché en 1917 pour organiser les enregistrements instrumentaux de musique éthnique du label, ainsi que pour chercher de nouveaux juifs talentueux pour de futurs enregistrements. Parmi ces découvertes, Naftule Brandwein, le « roi de la clarinette klezmer », que l'on peut entendre jouer sur des enregistrements autour de 1920, avant qu'il ne forme son propre orchestre chez le concurrent Victor Records. Jeffrey Wollock le décrit comme « un contractuel indépendant pour les disques d'Europe de l'Est (et peut-être d'autres) chez Columbia. [...] C'était le travail de Schwartz de réunir des orchestres. [...] Schwartz était un chef d'orchestre "maison" du département de musiques étrangères, et ses orchestres étaient composés de qui il pouvait trouver pour la session. Vu qu'il travaillait souvent sans avoir écrit les arrangements, c'était aux musiciens de "connaître ce qu'ils devaient faire". Le jeu sur la plupart de ses enregistrements est donc vernaculaire, spontané, et quelque peu dégradé. » En 1919, Schwartz publie sa première chanson Dus Zekele mit Koyln et l'enregistre avec le chanteur yiddish Abraham Moskowitz, marquant l'entrée de Schwartz dans le monde du théâtre yiddish. La même année il a également sorti un grand nombre de disques d'enregistrement non-juif sous pseudonymes comme Orkiestra Wiejska et Russky Narodny Orkestr. En 1920, en préparation d'enregistrement d'un paquet de chansons klezmer, il a déposé environ 35 pièces, qui sont consultables à la Library of Congress. Sa chanson la plus célèbre, toujours jouée de nos jours, était Di Grine Kuzine (la jeune cousine, littéralement "la cousine verte" = pas mûre). La chanosn a eu un tel succès qu'elle a été parodiée , notamment Mayn Kuzine de Hyman Prizant et Di Grine Kuizine de Jacob Leiserowitz. Elle a été aussi enregistrés par Abraham Moskowitz, Joseph Feldman et Morris Goldstein. Le succès de cette chanson a contraint Schwartz d'écrire et publier un grand nombre d'autres chansons de théâtre yiddish. En 1923, quand Naftule Brandwein a quitté l'orchestre d'Abe pour démarrer le sien chez un label concurrent, le clarinettiste Schloimke (Sam) Beckerman l'a remplacé. En 1927, il a aidé à rassembler un nouvel orchestre, le Boiberiker Kapelye, qui a joué à la radio et sur des disques pendant 5 ans, avec des solistes tels que Dave Tarras, Alex Fiedel, et Berish Katz. Schwartz a continué d'enregistrer et composer pendant les années 1930, en diminuant la cadence dans les années 1940. Son enregistrement de Ikh bin a Boarder bay mayn vayb en 1941 fût un des derniers succès notables de sa carrière. À la fin des années 1940 il jouait toujours régulièrement pour des concerts de musique klezmer bien payés, a reporté Marty Levitt qui a joué avec lui en 1949. Pour lui, Schwartz n'était juste qu'un vieux violoniste, mais la majorité de son auditoire qui avait suivi sa carrière depuis les années 1920 le voyaient comme une icône, un personnage culte. Dans les années 1950, il a pris sa reteraite de l'industrie de la musique. Il décède à l'hôpital Morrisania dans le Bronx à l'âge de 75 ans le 7 mai 1963. |
Source
- http://savethemusic.com/bin/archives.cgi?q=bio&id=Abe+Schwartz
- https://www.wikiwand.com/en/Abe_Schwartz
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